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Un petit coin de paradis à Desnié mérite que l’on s’y attarde.
Parfois, il suffit d’emprunter un chemin de traverse pour accéder au bonheur. Dans une société particulièrement chronophage encourageant toujours plus l’individualisme, le consumérisme, la rentabilité, il peut être de bon aloi de prendre plusieurs jours de recul, de mettre son quotidien bouillonnant sur pause, d’opter pour quelques heures de tranquillité entouré de ses proches.
Le gîte Un chemin de traverse est avant tout une histoire de famille, celle de la vibrionnante tribu Olbrechts. Un lieu idéal et cosy, situé à Desnié, près de La Reid et Theux, qui invite à se retrouver en groupe pour profiter de la beauté de la nature environnante et de moments de pure convivialité.
Pouvant accueillir jusqu’à 22 personnes avec ses huit chambres et ses six salles de bain, cette bâtisse pleine de charme se révèle être l’endroit idéal pour jouir des plaisirs simples de l’existence. Décoré avec goût tout en conservant les éléments bruts qui font tout son charme, Le chemin de traverse est un lieu où il fait bon vivre, où le temps ralentit, les verres s’entrechoquent, les blagues fusent et les rires jaillissent.
Inauguré il y a peu, ce gîte a déjà conquis son public. Cependant, il reste encore quelques disponibilités dont la première semaine de Toussaint. Et en cette période du brame du cerf (pour lequel Forestia, situé à dix minutes du gît) organise des activités), où les claquements de bois violents et les rugissements dominants de ces nobles animaux forment la bande-son de l’un des plus beaux spectacles que nous livre la nature, il est exceptionnellement possible de réserver une seule nuit, du jeudi 22 au vendredi 23 septembre. Un panier de bières spéciales, confectionné par Jamy de l’Aigle d’Or à Liège, sera offert pour cette réservation. Avis aux amateurs !
Plus d’infos sur https://www.chemindetraverse.be – info@chemindetraverse.be (site web en cours de finalisation) ou sur https://www.facebook.com/gite.chemindetraverse/ et https://www.instagram.com/gite.chemindetraverse/
Thiebaut Colot