A peine ouvert, le restaurant du Roannay est distingué par le Gault & Millau !
Le Roannay est une institution qui accueille touristes et visiteurs du plus beau circuit du monde depuis 1926. Sous l’impulsion du dynamique groupe Gehlen et de ses partenaires, cet établissement emblématique de la région s’est offert un sérieux lifting.
« Après une année d’un chantier impressionnant réalisé par les équipes du Groupe et nos partenaires, c’est désormais un hôtel flambant neuf, qui a su garder l’âme des lieux », pouvait-on lire sur les réseaux sociaux de cette société active sur différents fronts. « Le Roannay est désormais le dernier né de Pôle Horeca du Groupe Gehlen, aux côtés du MY HOTEL à Malmédy et du Petit Roannay à Stavelot. »
Cet hôtel-restaurant mythique situé à moins d’un kilomètre du circuit de Spa-Francorchamps compte désormais seize chambre dont dix suites de standing, un bar et un wellness privatif. Un espace évènementiel, avec une terrasse spacieuse, peut accueillir des manifestations professionnelles ou privées.
Clou du « spectacle », ce n’est rien de moins que David Martin, chef doublement étoilé au Michelin avec son adresse anderlechoise La Paix, et son ancien sous-chef Mathieu Vande Velde qui sont aux commandes de la cuisine du Roannay – intense, raffinée et élégante – pour emmener les clients dans une promenade gourmande avec une carte aux accents locaux et ouverte sur le monde.
Une cuisine qui a déjà su séduire l’exigeant Gault & Millau qui a attribué l’excellente note de 15 sur 20 au Roannay. « Un restaurant pour lequel on ne pouvait trouver meilleur chef-pilote en la personne de David Martin. Épaulé par Mathieu Vande Velde, son chef exécutif et ancien second au restaurant La Paix, le duo veille à délivrer une cuisine en phase avec la modernité du lieu et les racines de la région », peut-on lire dans le célèbre guide gastronomique français. « Sous ses faux airs de Gordon Ramsay, ce jeune chef, réalise avec un certain talent la cuisine de son mentor. Ses assiettes gourmandes traduisent autant le souci technique que le respect du produit. Ces derniers sont sélectionnés avec soin pour être intégrés dans des recettes où ils révèlent toute leur identité. »
Après avoir souligné à quel point le service du homard breton cuit au feu de bois et dont la pince servie crue relève du génie culinaire, les plumitifs du Gault & Millau concluent avec emphase : « Assurément, on est au-delà de la renaissance du lieu ce qui leur donne immédiatement trois toques au guide ! »
Thiebaut Colot
Crédit photo : Le Roannay